Avec son premier album "Bridges and Rivers" en 2018, Clémentine proposait un premier aboutissement de longues années d'écriture et de composition. Largement inspiré de la folk anglo-saxonne et de ses grandes figures nord-américaines (Joan Baez, Bob Dylan, Leonard Cohen ou Simon and Garfunkel)
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La voix, expressive et veloutée, est toute entière au service d’une poésie sensible. L’auteure y interroge les mystères de l’humain, la solitude, les racines et le départ, l’amour, ou encore, la proximité de la nature.
«â€ŠNous sentons la ferveur d’histoires chargées de sens émaner de Bridges and rivers. La chanteuse y confie les atermoiements de son âme, les difficiles étapes de la vie à franchir. Mais sans jamais surjouer ses douleurs et ses joies, elle vise dans le juste et l’universalité des sentiments. »
Litzic.fr
Polyinstrumentiste, Clémentine aime à jouer des sonorités de la guitare folk, du violon ou de l’harmonica, auxquelles viennent s’ajouter les riffs virtuoses de la seconde guitare
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En cours de préparation, le prochain album de Clémentine Dubost confirme ses influences folk avec des chansons tournées vers les grands espaces d’Amérique du Nord. Waking in the Adirondacks, Port Henry Station, Single Malt... Autant de titres qui laissent deviner une atmosphère générale plus boisée, plus sauvage, mais également une voix plus affirmée et des arrangements où apparaîtront des instruments tels que le banjo ou la mandoline.
Des inspirations récentes et résolument américaines se font sentir (Alela Diane, Gillian Welch) et signent un album où les nombreux séjours de la chanteuse sur le territoire sont palpables.
Au fil des ans, l’écriture de Clémentine a mûri. Les questionnements sur l’identité et les choix individuels de Bridges and rivers glissent ainsi vers des sujets plus larges.
L’omniprésence de la nature et du territoire semble directement inspirée des romans de John Steinbeck ou de Ron Rash et mènent imperceptiblement vers la mise en cause de nos modes de vie et de connexion au monde.
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Sur scène, Clémentine Dubost peut se dévoiler de la façon la plus simple et la plus épurée : seule avec sa voix et sa guitare, à l’instar d’une Joan Baez ou d’un Bob Dylan des premières heures. Depuis peu, sa mandoline l’accompagne en alternance sur quelques chansons, et son harmonica n’est jamais loin.
Lorsque le cadre s’y prête, la musicienne propose une formule plus étoffée : en trio, avec deux guitares folk et contrebasse ou en duo de deux guitares. Cette formule plus festive reste authentique et fidèle à son univers, permettant de parsemer ses chansons de plages d’improvisations lors desquelles elle attrape son violon ou sa mandoline.